Ceuss’ que j’aime bien

7 commentaires pour Ceuss’ que j’aime bien

  1. La Vachère dit :

    Samedi soir, abandonnée lâchement par mon homme, j’ai lu tout ton blog ! sauf cet article, que j’avais loupé ><

    Mas du coup, vu les liens, je vais le mettre en favoris tiens !

    Merci pour les rires et souvenirs que tes écrits (très agréables à lire, fluides) peuvent évoquer !

  2. R. dit :

    Merci chère vachère, heureuse d’avoir passé le nouvel an avec toi… 🙂 Sois la bienvenue !

  3. ouplala dit :

    idem. nuit d’insomnie . je me suis régalée. Merci, ça faisait longtemps que je devais attendre ça, écrit comme ça (je crois).
    Et surtout très bonne continuation.
    C’est frais, intelligent, équilibré mais pas planplan et donc loin d’être chiant, c’est fin c’est charmant, c’est vivant (et puis j’aime bien le titre, il m’évoque une personnalité à différentes facettes et joyeusement complexe dans laquelle je me reconnais complètement, pas tout à fait cimentée mais déjà bien développée, avec beaucoup de doutes et quelques certitudes bien placées), encore merci /.

    • R. dit :

      Putain, j’ai pas dormi de la nuit moi aussi (l’insomnie, c’est le mal…), alors ça fait sacrément plaisir un message comme ça de bon matin, dans mon open space gris, avec mes valises sous les yeux ! Merci, ouplala, sois la bienvenue par ici… 🙂

  4. zoumpapa dit :

    Tiens, Martin Winckler, je ne connaissais pas et je viens de terminer « Le Choeur des Femmes ».
    T’es passionnée par la médecine ? (tu noteras chez moi un pouvoir de déduction à la limite du surnaturel…). Je pose la question parce que je n’ai pas le sentiment que tu bosses dans le domaine (nb: rooooh l’incursion discrète mais fameusement osée dans ta vie privée…)

    • R. dit :

      J’ai moi aussi beaucoup aimé Le Choeur des femmes, je l’offre régulièrement, depuis… plutôt à des femmes ! Du coup, je me dis que c’est ptet con, que je pourrais aussi l’offrir à des mecs comme toi.
      Effectivement, je ne bosse pas du tout dans la médecine, mais les sujets soulevés par Martin Winckler (le rapport soignant-soigné, le pouvoir du médecin, les influences des labo, les infos à contre-courant, notamment sur la contraception…) me parlent. Je ne suis plus sûre, mais je pense que ça a débuté quand j’étais enceinte de mon premier et que j’ai commencé à me poser des questions sur la prise en charge de la grossesse, l’accouchement, les rapports avec mon bébé…
      A un moment où j’ai envisagé une reconversion professionnelle, je me suis dit que je me verrais bien sage-femme, mais les 5 ans d’études m’ont un peu arrêtée dans mon élan (vu qu’il faut bien donner à bouffer aux marmots en attendant), et je me suis dit aussi que je n’étais pas du tout sûre de supporter la face sombre de ce métier (les bébés qui meurent, les parents qui pleurent…).
      Bref, je suis restée dans mon domaine qui me soule, mais qui me nourrit… 😉
      (comment ça je raconte ma vie ? 😀 )

  5. zoumpapa dit :

    note, cela m’aurait plus inquiété si tu t’étais décidée à l’offrir à des femmes comme moi …en même temps vu le sujet du bouquin…who knows? 🙂
    Et pour ce qui est de ton boulot: tant qu’il te nourrit, il t’aide à te maintenir en vie, et te permet donc d’écrire ce blog…et donc nous on dit « merci boulot » ….(mais ptêt que j’exagère un peu là, limite flagornerie) 😉

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